
Dans la vieille ville, un petit garçon court dans les rues sa bouteille d’eau maintenue fermement sous son bras.

Dans la vieille ville l’ancienne ligne de front entre l’Est et l’Ouest fraîchement reprise par le gouvernement.

Un char retourné qui n’étonne pas vraiment les quelques passants de la vieille ville.

21 décembre à Alep, les températures avoisines les -10 tandis que les combats font toujours ragent dans la ville.

La bibliothèque de la grande mosquée des Omeyyades d’Alep.

Un homme devant l’ancien consulat suisse déserté depuis des années.

Des habitants au milieu des ruines de leur maison. Ici seul le minaret de la mosquée voisine est encore débout.

Des enfants jouent au milieu de voitures criblées d’éclats et de balles.

Un soldat syrien fait sa ronde sur la ligne de front à l’Ouest d’Alep.

Un jeune garçon touché par des éclats d’obus alors qu’il essayait de rejoindre la zone contrôlée par le gouvernement.

22 décembre des dizaines de personnes descendent dans la rue pour acclamer Bachar al Assad, la ville d’Alep vient d’être complètement reprise par l’armée gouvernementale.

Au milieu des décombres trois femmes se baladent dans les rues qui encerclent la citadelle d’Alep.

Dans le quartier Ard al Amra, ouvert aux réfugiés d’Alep-Est des jeunes garçons s’occupent en faisant de la mécanique.

Dans ce quartier pour réfugiés surtout des femmes et des enfants, très peu d’hommes sont restés. La plupart se battent ou sont morts.

Sortie de l’école dans le quartier Hanano, les jeunes affichent fièrement leur guide de survie dans une zone de guerre.

Un homme lit paisiblement au milieu des destructions.

Au milieu des décombres et d’une rue déserte un homme repeint sa devanture.

Ils sont de plus en plus à revenir vivre dans les quartiers qu’ils occupaient avant la guerre.

Un père et son fils retournent chez eux avec un matelas quelques rations et la profession de foi musulmane pour seul bagage.

Tout le monde aide et il n’est pas rare de voir des enfants aider aux travaux de leur maison.